Circuit découverte des arbres du Voironnais (Isère)

Pour le troisième circuit découverte des Arbres de l’Isère, je vous propose une virée dans le secteur de Voiron. Un secteur incontournable pour tous les dendrophiles puisque ce versant ouest de la Chartreuse concentre la majorité des arbres d’exception du département.



Le projet des circuits découvertes en Isère :
Il s’agit d’une sélection de 15 circuits présentés progressivement sur le blog des Têtards arboricoles et qui viennent en complément de l’inventaire des arbres remarquables de l’Isère (publication à venir) pour faciliter l’approche et la découverte du patrimoine naturel du Dauphiné.
Le 1er circuit était une balade pépère pour une découverte originale de la forêt de montagne au Col de Porte; le 2nd en revanche était destiné aux (très) bons marcheurs aguerris aux forts dénivelés sur chemins rocailleux avec la récompense de découvrir l’environnement désertique de l’Arbre Taillé. Pour ce nouveau circuit d’une trentaine de km, il faudra privilégier la voiture (ou le vélo électrique 😉 ) pour rallier les différents spots arboricoles du Voironnais.

# Spot 1 : La Grande Fabrique à Renage

Dans un fond de vallon très encaissé où coule la Fure, se trouve un ancien site industriel nommé La Grande Fabrique. C’est de nos jours une usine abandonnée prenant des allures lugubres de friche industrielle. Mais elle a eu ses heures de gloire, à l’époque où l’industrie textile et papetière était très présente dans tout le Voironnais. L’usine de la Grande Fabrique était composée à l’origine de deux forges puis s’est spécialisée dans le tissage mécanique des crêpes de soie vers 1850. Jusqu’à 1000 ouvrières vivaient et travaillaient dans cette usine-pensionnat avant sa fermeture en 1969. Tout un cadre de vie était aménagé à proximité de leur lieu de travail : une chapelle (« chapelle-pont » construite en 1866 qui enjambe la rivière pour garder l’orientation rituelle Est-Ouest), des bâtiments d’habitation, une école et même un parc d’agrément. La création d’un parc paysager à l’anglaise avec des essences exotiques, fontaines et bassins sur le site même d’une usine était tout à fait inédit à l’époque. L’aménagement a débuté dans les années 1860, mais il reste très peu d’arbres des plantations d’origine. En 2017-2018, il a fait l’objet de travaux de rénovation en même temps que la Chapelle-Pont (ce monument fait parti de l’inventaire des « 30 ponts bâtis et habités d’Europe« ) et porte désormais le nom de Parc Pier Luigi Oliveri. Par ailleurs, le site devient également un lieux culturel important pour des expositions et des concerts.

La pièce maîtresse de cet petit parc (à peine 1 hectare) est sans contexte ce gigantesque Séquoia géant s’appuyant sur les hauteurs d’une pente herbeuse.
En 2018, sa circonférence à 1,30m est de 8,60m (8,34m à 1,50m du sol) et sa flèche culmine précisément à 39m.
Cet énorme tour de taille en fait l’un des plus gros Séquoias de tout le département de l’Isère… un titre qu’il partage avec le Séquoia de Moutongras (Roche) aux dimensions sensiblement équivalentes.
Son état sanitaire est globalement bon et on remarquera que durant ces 150 dernières années il a échappé miraculeusement à la foudre, principale cause de décapitation des séquoias en Rhône-Alpes.
Il a fait l’objet d’un élagage de ses branches mortes en 2017, une petite touche d’attention appréciable pour alléger son imposant houppier.

Ce séquoia est tellement impressionnant qu’il occulte d’autres arbres méritant l’admiration des visiteurs. Notamment près de la Chapelle-Pont, un immense Platane de 42m de haut (circonférence 5,30m), et un Tulipier de Virginie de l’autre côté de la Fure de plus de 4m de tour de taille (mais avec beaucoup de lierre) culminant à 37m de hauteur.

# Spot 2 : Le vénérable Tilleul de Réaumont

Sur cette petite place de village s’étale face à vous la ramure de l’Arbre emblématique de l’Isère : le Tilleul de Réaumont.
Bien plus ancien qu’un Arbre de Sully, sa plantation remonterait à 1390, ce qui lui donne l’âge canonique de 630 ans… c’est lui le doyen, l’arbre le plus vieux du département (bien que le sujet fasse débat suite à la découverte de certains ifs-bonsaïs sur des falaises de Chartreuse également très vieux). Depuis le Moyen-Age, ce vieux patriarche est le témoin de la vie du village, il a vu jouer dans son tronc creux et dans son houppier des centaines de générations d’enfants… et pourtant on ne sait que très peu de choses sur son histoire. Lui, connait toute la vie du village, mais Nous, que savons nous de son histoire ? A-t’il été planté pour célébrer un évènement historique particulier ? C’est un mystère, comme ils sont nombreux sur cette terre du Dauphiné… 
Mais une chose est sûre, c’est qu’il fait l’admiration de tous les visiteurs et la fierté des Réaumontois. Son état de santé est dégradé mais correspond à son très vieil âge. Il est difficile de juger de son état sanitaire lorsqu’on connait le fabuleux pouvoir de résilience des tilleuls. Il fait bien-sûr l’objet de toutes les attentions et de soins réguliers. En 1891, l’intérieur de son tronc a été entièrement bétonné (une pratique qui peut surprendre mais qui était habituelle à l’époque sur les vieux arbres). Trois barres métalliques ont aussi été placées pour limiter l’éclatement du tronc. Plus récemment, il a été ausculté sous tous les angles par des experts de l’ONF et une béquille massive soutient sa plus grosse charpentière.
Un Arbre fascinant, un Arbre respecté, un Arbre aimé et choyé par ses habitants 🙂 🙂 🙂
Mais aussi un Arbre vedette, l’acteur principal de la traditionnelle Fête des plantes et des Arbres qui se tient sur la place du village tous les ans à l’automne (sauf en 2020…) organisée par l’Association de la Maison de l’Arbre.
Côté dendrométrie, on est clairement dans la catégorie des Arbres d’exception : une circonférence à 1,30m de 9,40m et une hauteur de 16m à la cime de son houppier.
C’est donc le plus vieux mais aussi le plus gros arbre du département.
Il existe en France des tilleuls bien plus imposants que celui de Réaumont (jusqu’à près de 12m de circonférence), mais il fait parti des tilleuls les plus anciens.
Il a fait l’objet de nombreuses publications sur le web, dont un très bel article en 2010 sur le blog du krapoarboricole.

# Spot 3 : Le Jardin de Ville de Voiron

Véritable poumon vert de la ville, ce parc d’agrément est très apprécié par les Voironnais pour ses aménagements (pièces d’eau, parterres de fleurs, pelouses, allées sinueuses…) et ses animaux qui ravissent les enfants (canards, daims, oies…).
Et pour nous, passionnés de beaux arbres, ce parc est un vrai petit arboretum avec plus de 300 arbres, souvent plus que centenaires et dont le nom est rigoureusement étiqueté sur le tronc. Les âges ne sont pas connus précisément, le parc a été créé à la fin XIXème – début 1900.
A l’origine domaine privé, la maison et le parc de 3 hectares ont été légués à la ville de Voiron en 1920. Par la suite, la bâtisse a été détruite pour installer l’actuel Hôtel de Ville et le parc a pris le nom de Jardin de Ville.
L’arbre le plus remarquable est certainement ce majestueux Platane (environ 120 ans) de 6,50m de tour de taille et culminant à 44m de hauteur ! C’est l’un des plus imposants du département de l’Isère (mais ni le plus gros, ni le plus haut 😉 ).
A voir également un Cyprès de Lawson (circonférence 3,30m – Hauteur 22,5m), un majestueux Hêtre pourpre (circonférence 3,25m – Hauteur 33m), un Tulipier de Virginie au tronc bosselé (circonférence 3,55m – Hauteur 32m) ou encore un joli Sapin de Nordmann (circonférence 2,70m – Hauteur 32m)… pour ne citer qu’eux !

Non inclus dans la présentation du circuit, mais puisque vous êtes dans le centre ville de Voiron, libre à vous de faire un petit crochet par la célèbre chocolaterie Bonnat (l’un des seuls chocolatiers français à maîtriser toute la chaine de production de la récolte des fèves de cacao à la tablette), ou vous rafraichir avec la fameuse boisson Antésite au gout unique de réglisse et vendue dans le monde entier, voir carrément vous lancer dans la visite des Caves de la Chartreuse (la plus grande cave à liqueurs au monde ouverte au public)… mais là, je ne vous garantie pas que la suite de la tournée arboricole se déroulera dans sa forme initiale 😉

# Spot 4 : Le Parc public de Coublevie

Je vous livre ici une découverte assez récente et plutôt inattendue.
Mais je tiens tout d’abord à vous prévenir que vous risquez d’avoir un sentiment mitigé, voir même une petite déception en arrivant sur place et de vous dire que ce petit parc public n’a rien de franchement remarquable : une aire de jeu au milieu d’une pelouse joliment arborée, et somme toute assez classique… C’est aussi l’impression que j’ai eue en le découvrant pour la première fois en 2017. Un rapide coup d’œil panoramique depuis le parking et j’étais prêt à remonter dans ma castormobile pour prospecter d’autres horizons. Vraiment rien d’intéressant… à un détail près, un curieux séquoia avec une grosse branche latérale. Mais honnêtement, pas de quoi sortir le décamètre pour l’enregistrer dans l’inventaire départemental. Pourtant je n’arrivais pas à décrocher mon regard de cet étrange séquoia, il y avait quelque chose d’anormal… Et c’est finalement la curiosité qui m’a poussé à faire quelques pas vers lui. Le choc a été terrible lorsque sa véritable identité s’est progressivement dévoilée : ce n’était pas un séquoia mais son cousin californien, le Calocèdre… Incroyable, je n’en revenais pas ! Il s’en est fallu de peu pour que je passe à côté d’un arbre absolument hors-norme, exceptionnel. Sa circonférence à 1,30m de hauteur est de 5,10m ce qui en fait l’un des plus gros calocèdres connus en France (actuellement seuls trois calocèdres ont dépassé la barre mythique des 5m de tour).
En revanche, sa hauteur totale de 26,50m est assez ordinaire pour cette essence qui culmine souvent à plus de 30m.
Petit rappel, le département de l’Isère possède d’autres calocèdres records, ils sont situés sur le Golf d’Uriage (44m de haut pour 4,50m de circonférence). Pour en savoir plus sur cette essence nord américaine, souvent confondue avec le séquoia, je vous conseille la lecture de l’article sur le Golf d’Uriage qui lui a été consacré.
Le Parc municipal Garanjoud où se trouve le calocèdre de Coublevie est un ancien domaine privé légué à la commune et aménagé comme parc d’agrément pour le public. Je n’ai trouvé aucun complément d’information sur son historique qui pourrait nous donner des précisions sur les dates de plantation de ses essences exotiques. Peut-être qu’un lecteur de passage sur le blog pourra nous apporter quelques précisions ?

# Spot 5 : Le Séquoia du Couvent de Beauregard

La présence de nombreux monastères à l’ouest de Grenoble est aussi une particularité régionale. En effet, l’ordre des Chartreux de St Bruno a essaimé des moines qui sont partis s’installer sur plusieurs sites dans ce secteur.
Celui de la Chartreuse de Sainte-Croix de Beauregard était composée de moniales, installées au début 19ème dans un ancien château. Les Chartreusines sont restées sur ce site jusque dans les années 80. Actuellement un projet immobilier haut de gamme a permis de réhabiliter le bâtiment. Voilà pour le très bref résumé historique.
Côté environnement, l’intérêt réside dans la présence de ce majestueux séquoia, surprenant à plus d’un titre. Tout d’abord pour ses dimensions peu fréquentes qui en font l’un des plus gros du département : circonférence à 1,30m = 8,15m et une hauteur totale de 32m. On remarque que sa cime a eu un accident de croissance (foudre ?) mais la tige a réussi à compenser ce petit accident de la vie en développant des branches latérales permettant de prendre le relais (un cas fréquent chez les séquoias). L’autre originalité est la présence de ce séquoia près d’un monastère. Sa date de plantation n’est pas connue précisément mais doit se situer entre 1880 et 1900, à une époque où les essences géantes américaines étaient très à la mode dans les grands domaines privés. Elles permettaient de donner du prestige aux propriétaires fortunés. Et c’est bien là le paradoxe… A cette époque, ce sont les Chatreusines qui occupaient le vieux château, il est par conséquent difficile de comprendre la raison de la plantation d’une essence de prestige près d’un monastère alors que les mots simplicité, recueillement et isolement sont les principes de base de la vie des moines Chartreux… Sa présence à cet emplacement est donc très mystérieuse.

# Spot 6 : Le Tilleul de St Aupre

Finissons cette tournée du Voironnais par un autre Tilleul presque aussi emblématique que celui de Réaumont.
Ce tilleul villageois tient une position stratégique près de l’église et remplit tous les critères répondant à un Arbre de Sully planté vers 1600 à l’époque d’Henri IV.
Ces Arbres de Sully sont devenus très rares en France et font parti de notre patrimoine historique local.
D’après l’enquête menée en 2019, sur vingt vieux tilleuls isérois, seuls deux d’entre eux pouvaient porter le titre honorable d’Arbre de Sully avec certitude : le Tilleul de St Aupre et le Tilleul de St Martin-le-Vinoux… mais ce dernier a été abattu en 2002. Six autres tilleuls isérois pourraient être potentiellement des Tilleuls de Sully mais sans en avoir la certitude.
Le Tilleul Sully de St Aupre mesure un peu plus de 6m de circonférence et presque 10m à sa base. Sa hauteur totale a été mesurée à 14m.

A noter que ce tilleul est aussi vieux que la célèbre foire aux chèvres de St Aupre qui se déroule chaque année depuis 400 ans (c’est aussi Henri IV qui instaura cette foire aux chèvres le jour de la St Mathieu le 21 septembre 1606) !
Alors, pourquoi ne pas réserver cette tournée arboricole du Voironnais pour la St Mathieu et profiter par la même occasion de cet événement festif à St Aupre 🙂 🙂 🙂


La feuille de route en voiture :

Depuis Grenoble, accès au Spot 1 : environ 35 minutes – 32 km
Depuis Lyon, accès au Spot 1 : environ 1 heure – 85 km

Spot 1 La Grande Fabrique à Renage :
Parking gratuit : 45,33005°N / 5,49119°E ou 45°19’48 N / 5°29’28 E
Puis accès à pied vers la Chapelle-Pont en moins de 5 minutes
Distance vers Spot 2 : 6,5 km environ 10 minutes

Spot 2 Tilleul de Réaumont
Parking gratuit : 45,36711°N / 5,52589°E ou 45°22’02 N / 5°31’33 E
Accès immédiat au pied du tilleul
Distance vers Spot 3 : 7 km environ 10-15 minutes

Spot 3 Le Jardin de Ville de Voiron
Parking en stationnement payant : 45,3606°N / 5,59109°E ou 45°21’47 N / 5°35’28 E
Accès immédiat entrée nord du parc
Distance vers Spot 4 : 3 km environ 5-10 minutes

Spot 4 Le Calocèdre de Coublevie
Parking gratuit : 45,35406°N / 5,60780°E ou 45°21’15 N / 5°36’28 E
Accès quasi immédiat au calocèdre
Distance vers Spot 5 : 2 km environ 5 minutes


Spot 5 La Chartreuse de Beauregard
Parking gratuit : 45,35470°N / 5,62659°E ou 45°21’17 N / 5°37’36 E
Accès immédiat au séquoia
Distance vers Spot 6 : 8 km environ 10-15 minutes

Spot 6 Le Tilleul de St Aupre
Parking gratuit : 45,39884°N / 5,67071°E ou 45°23’56 N / 5°40’15 E
Accès immédiat au tilleul

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8 réflexions sur « Circuit découverte des arbres du Voironnais (Isère) »

  1. Bravo Castor pour ce nouvel itinéraire arboricole ! Comme à ton habitude, tu mêles habilement culture et patrimoine local aux arbres.

    A noter que les coordonnées affichées en fin d’article sont reconnues soit par le Géoportail IGN, soit Bing Maps, soit par Google Maps, à condition de supprimer le  » /  » qui sépare la latitude et la longitude. Je dis ça car je trouve cela très pratique de situer ces endroits par le biais des cartographies en ligne 🙂

    En tout cas, c’est un chouette parcours qui, même en voiture, doit quand même nécessiter deux journées pour bien en profiter non ?

  2. Comme le dit justement Aurélien ce nouvel article du Castor Masqué mêle avec intérêt patrimoine arboré et lien avec l’histoire des lieux.
    La confusion, de loin, entre séquoia géant et calocèdre est effectivement fréquente, d’autant que, dans le Gard par exemple, ces deux espèces du sud-ouest nord américain ont été systématiquement introduites ensemble dans nos grands parcs comme marqueurs sociaux, i.e. comme symboles de la richesse du propriétaire d’alors. Ici aussi la circonférence de 5m est atteinte par le calocèdre mais je n’ai jamais recensé de spécimen dépassant cette taille.
    Bonne journée à tous. Yves

  3. Merci pour vos commentaires, j’espère que ça vous donnera envie de venir faire un petit tour en Isère pour découvrir ce secteur 🙂

    Pour les coordonnées GPS, je les ai affichées sous deux formats différents. Nos GPS de voitures acceptent l’un ou l’autre (rarement les deux). Par contre ils correspondent bien au point de stationnement (potentiel) pour la voiture, au plus proche des arbres décrits dans l’article.

    Concernant la durée du circuit, je n’ai pas voulu être trop précis sachant que chacun le visitera à son rythme.
    Dans la majorité des cas, le circuit est réalisable sur une petite journée. Les trajets voitures cumulées entre spots ne devraient pas prendre plus de 30-45 min et sur place le temps de visite pour chaque site devraient être compris entre environ 15-20 min (Séquoia de Beauregard) et environ 1 heure (Parc de Voiron).
    On peut imaginer que pour un départ tranquilou vers 10h00 à La Grande Fabrique, les visiteurs devraient se retrouver pour la pause midi à Voiron (pique-nique possible dans le parc avec aire de jeux et animaux pour les enfants) et finir la tournée dans le milieu d’après-midi à St Aupre.

  4. @ Yannick : c’est vrai que certains offices du tourisme pourraient être intéressés de proposer de nouvelles façon de faire découvrir leur patrimoine naturel.

    @ Eric : ça fait plaisir de voir que tu suis attentivement l’inventaire des séquoias. Cette page sur Coublevie m’avait échappé. Il y a en fait de nombreux séquoias (circonférences 5-7m) sur Voiron et Coublevie ils sont soit isolés soit regroupés en bouquet, je n’ai pas poussé l’inventaire en les relevant systématiquement certains ne sont pas accessibles et seulement visibles du bord de route. Mais pour celui du Parc de Coublevie, c’est bien une erreur, il s’agit d’un Calocèdre. Par contre pour la grosse souche à proximité, je n’ai pas réussi à savoir s’il s’agissait d’un ancien séquoia ou d’un autre regretté Calocèdre.

  5. Bonjour à tous !

    Bientôt l’Isère n’aura plus aucuns secrets pour nous ! 😉

    Beau boulot d’écriture et de mise en avant d’un patrimoine culturo-botanique.
    Le parc de la Fabrique a un potentiel intéressant et bien sûr le tilleul de Réaumont reste et restera l’emblème !

  6. Ping : La beauté physique et spirituelle des bonsaïs à Grenoble: découvrez leur univers fascinant!

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