5 réflexions sur « Arbres remarquables du Gard Addendum 2022.2 Yves MACCAGNO »

1. Bonjour Yves,

   encore une belle brochette de beaux arbres gardois, toujours pour notre plus grand plaisir, merci 🙂 🙂 🙂

   J’ai bien aimé le mandarinier géant et le palmier dattier (sans dattes…), je ne pensais pas qu’ils pouvaient s’acclimater sous le climat gardois.
   Par contre je suis surpris qu’il n’y ait pas plus gros en mimosa (circ 1,40m) dans le Gard ? J’en avais relevé un de 1,95m de circonférence en bord de route (presque sauvage) dans le Massif des Maures (Var) et plusieurs à plus de 1,60m dans les Pyrénées orientales. C’est une essence à croissance rapide mais qui a malheureusement tendance à casser dès qu’il prend trop d’envergure.
   Pour info, les rares mimosas grenoblois débutent leur floraison seulement maintenant… au moment où ceux de la Côte d’Azur finissent de fleurir 😉

   Il ne faut pas trop tarder, 2050 approche rapidement et il reste encore beaucoup de travaux à réaliser à Nîmes pour suivre les « pronostics » de l’évolution climatique : création d’un souk dans les ruelles de la médina de Nîmes, démontage des Arènes pour l’aménagement de la nouvelle Place Jemaa-El-Fna et où planter de la nouvelle palmeraie ? tant de travaux à réaliser… 😉
   Par contre, on a déjà les dunes de l’Espiguette pour faire « paître » les dromadaires et organiser des tours en 4×4 pour les touristes dans le désert, lol
   😉

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   • Bonjour,
     Merci au Castor Masqué pour ses encouragements!
     Effectivement je n’ai pas rencontré dans le Gard de très gros Acacia dealbata et cela est dû effectivement au caractère cassant des branches qui ne supportent pas le poids de la neige et aux froids imprévus et intenses qui peuvent affecter le Gard entraînant le gel des arbres (même problème pour certains palmiers moins résistants).
     Excellentes suggestions quant aux aménagements urgents à réaliser à Nîmes avant 2050. Je m’adapte moi-même en suivant des stages intensifs de conduite de chameaux pour promener les touristes !
     Yves

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     • Ces fortes gelées encore récurrentes dans la période de « réchauffement » climatique que nous vivons sont vraiment problématiques pour choisir les nouvelles espèces à planter (en forêt ou en ornemental)… on serait tenté de vouloir planter des espèces plus méridionales actuellement mais ces coups de froids sont encore redoutables…
       Même les mimosas du Gard ne sont toujours pas à l’abri d’un hiver plus froid.
       Les fruitiers en fleurs ont d’ailleurs encore gelé cette année en basse vallée du Rhone 🙁
       Dans le Tome 2 des Arbres du Gard, vous parlez d’un mimosa plus résistant (Accacia pravissima), dans le parc des Camélias à Ales, s’agit-il de la même espèce présentée dans ce dernier addentum ?

       Concernant le démontage des Arènes de Nîmes prévu pour 2050, bonne nouvelle, on est éventuellement preneur à Grenoble 🙂 Les romains ne nous ont pas laissé beaucoup de vestiges de leur passage dans la capitale des Alpes et on manque cruellement de points d’intérêts pour retenir les touristes dans notre vallée polluée. Par contre, merci Yves de bien numéroter les pierres pour qu’on s’y retrouve au montage… au pire si on n’y arrive pas, on fera une pyramide, c’est aussi une valeur sûre d’un point de vue touristique ça a fait ses preuves 🙂
       D’avance merci 😉

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       • Acacia dealbata et pravissima sont deux espèces différentes. Il pousse de beaux spécimens de la seconde à Londres, montrant ainsi ses capacités de résistance.

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         • Par Toutatis et Bélénos ! Ils sont devenus fous !
           Donner des idées de travaux aux Nîmois, vous trouvez qu’il reste trop de micocouliers (ou d’eucalyptus) sur les avenues ?
           Hi hi hi les mimosas qui font de la résistance à Londres, hi hi hi !

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