Résultat : pour une autorisation (apparemment orale, obtenue sous pression d’une « situation d’urgence ») de 5 arbres, 31 se retrouvent à terre. Pour Yves Auvinet, Président du Conseil départemental de la Vendée, c’est un petit peu lamentable.
En Vendée, le département attribue un droit d’abattage d’arbres du domaine public à une société de transport !
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