En voilà un mot savant ! En fait il s’agit d’un partie fort méconnue de l’archéologie : les gravures militaires sur les écorces des arbres, ou « arborglyphes ». Et la jeune femme ci-dessus, Chantel Summerfield, est la seule chercheuse à travailler sur le sujet depuis 2008.
Je vous propose de lire un article paru dans un magazine de mars 2013, qui m’a beaucoup intéressé, autant pour le fantastique travail entrepris par cette jeune doctorante que par le lien étroit qu’il tisse entre l’Histoire, les hommes et les arbres.