L’inventaire des arbres remarquables du Gard s’enrichit chaque mois!
Cet Addendum 2020.3 est disponible uniquement en téléchargement (pdf), et en exclusivité sur le blog.
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Chic ! quelques sorties à prévoir pas loin de chez moi 😉
Merci Yves
Bonjour Yves,
Merci pour ce nouvel addendum qui interroge sur le bien fondé de certaines craintes vis-à-vis des risques liés aux arbres.
En fait, on prend plus de risques à prendre sa voiture pour aller faire ses courses qu’a laisser les branches du vieil arbre des voisins dépasser dans son jardin !
As-tu pris des mesures de circonférence pour le figuier et l’érable negundo que tu as mentionné ?
Bonjour Aurélien,
Non je n’ai pas pu prendre de mesures du figuier et de l’érable négundo car la maison est occupée par des résidents secondaires. Je le ferai à l’occasion quand ils seront là et les communiquerai.
Toujours aussi documenté, illustré et intéressant.
Merci pour le partage !!
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En consultant le tome III des Arbres remarquables, j’ai observé le tableau des essences et circonférences maximales relevées.
Y aurait-il des photos pour le figuier, buis, noyer royal, houx, sureau noir, arbousier ?
Au vu des dimensions, est-ce que pour le sureau et l’arbousier, on est dans un cas de troncs multiples ou cépées ?
Bonjour Sisley,
Oui il existe des photos pour tous les arbres que jai recensés. Celles de la plupart des plus gros sujets ont été publiées dans les 5 tomes et les trois addenda.
Pour le plus gros sureau du Gard, la mesure a été effectuée à 50 cm du sol, où l’arbre se sépare en deux troncs d’un mètre de circonférence chacun.
Pour l’arbousier des gorges du Gardon que j’ai décrit dans le tome 2 (livre papier), j’ai bien précisé qu’il s’agit de la circonférence de la souche d’où partent encore aujourd’hui une dizaine de troncs tous torsadés.
Comme beaucoup de personnes ne possèdent pas les deux premiers tomes papier, je republie progressivement les photos sur Internet.
Dans le prochain addendum (le 4e !) qui est actuellement entre les mains de Yannick, j’aborde la question du classement actuel des arbres selon des critères chaque fois uniques : soit la circonférence, soit la hauteur, soit l’âge. Je montre par exemple un chêne blanc à tronc unique qui à 1.30m mesure plus de 6m de circonférence du fait d’une énorme protubérence basale, alors qu’au dessus on a affaire à un arbre absolument normal de 3m. Pour moi il ne devrait pas entrer dans le classement., Autre exemple, mais à l’inverse : le chêne des Canaries d’Anduze se classe second au niveau mondial derrière un sujet anglais pour la circonférence, mais le gardois mesure 34m de hauteur et est donc beaucoup plus remarquable que l’anglais !
Bonne journée. Yves