Le 30 nivôse an II de la République (19 janvier 1794), fut planté à Locquénolé, dans le Finistère, un chêne de la Liberté. Deux cent vingt années après cet événement, l’arbre a reçu, le 15 novembre dernier, le label ‘Arbre remarquable de France‘.
Le 30 nivôse an II de la République (19 janvier 1794), fut planté à Locquénolé, dans le Finistère, un chêne de la Liberté. Deux cent vingt années après cet événement, l’arbre a reçu, le 15 novembre dernier, le label ‘Arbre remarquable de France‘.
Le 15 octobre dernier a eu lieu en Suède, près de Gotteborg, une conférence sur la gestion des vieux arbres remarquables (veteran trees) en Europe. Cette conférence clôturait trois années de réflexion d’un groupe de travail réunissant cinq organisations de nationalités différentes : Suède (Pro Natura), Belge flamand (Inverde), Anglais (Ancient tree forum et Woodland trust), Espagne (Amigos de los arboles viejos), Roumanie (Societatea progresul silvic).
Rares sont les noisetiers possédant les dimensions de celui situé sur le site néolithique de Quelfénec sur la commune de Plussulien.
Pour compléter la série de portraits qui croisent le regard d’un artiste avec le végétal, voici les chênes têtards de Fernand Daucho à Pont Aven près de la chapelle de Trémalo.
Voici un portrait de cyprès de Lambert remarquable à la fois par sa circonférence de 7.2 m mais également par son architecture peu commune.