Après le chêne sessile de Saint Jean sur Vilaine, voici le chêne sessile de Berrien. Lui aussi garde l’entrée d’une ferme, mais contrairement à son majestueux et vigoureux confrère, lui me fait plutôt penser à un vieux général à la retraite avec ses décorations.
En effet, il arbore deux plaques, l’une indiquant sa labellisation A.R.B.R.E.S., l’autre commémorant la mort en août 1944, de deux résistants, André Créoff et Jean-Marie Riou.