C’est peut-être parce qu’il était dénommé chêne de Boisguérin dans le livre “Arbres remarquables & émouvants en Deux-Sèvres” qu‘après plusieurs passages dans les environs ; je n’avais toujours pas découvert ou il se trouvait.
Retour en Bretagne avec un arbre qui me plait tout particulièrement, malgré son état de décrépitude avancée!
C’est un chêne sessile, de futaie, que les habitants des environs appellent le père éternel. Aurais-je à faire au Dieu des chênes!?
Je ne le pense pas, mais le simple fait qu’il ait un nom le rend intéressant. Cela prouve le respect et l’attachement que lui portent les locaux, et son ancrage dans le terroir.