Après ma visite au chêne de l’an mil (1), je me suis décidé à appliquer de nouveau ma méthode de « prospection aléatoire » qui m’avait permis de le découvrir.
Grand bien me prit puisqu’elle s’est une fois de plus avérée payante!
Après ma visite au chêne de l’an mil (1), je me suis décidé à appliquer de nouveau ma méthode de « prospection aléatoire » qui m’avait permis de le découvrir.
Grand bien me prit puisqu’elle s’est une fois de plus avérée payante!
Comme promis dans mon précédent article concernant le chêne du Margaro à Rouillac (1), voici son frère d’arme situé à quelques kilomètres sur la commune de Sévignac.
J’ai découvert cet ancêtre en 2007 (photos en feuilles de 2007), en revenant de visiter son confrère qui était recensé dans le livre « le patrimoine des communes des Côtes d’Armor » .