Certainement plus que quelques jours si vous voulez aller profiter de ce petit Hanami au Parc Oriental de Maulévrier. Continuer la lecture
Archives par mot-clé : Maine-et-Loire
Châtaignier de Melay, Maine-et-Loire
C’est l’un des plus gros châtaigniers répertorié en Anjou. Bien qu’il soit nettement moins impressionnant que les autres au niveau de ses mensurations [1], [2], [3], il offre tout de même un joli spectacle avec ses 7m50 de circonférence. Continuer la lecture
Chêne creux de Saint -Lambert-du-Lattay (Maine-et-Loire)
Lors de mes nombreuses pérégrinations de l’année 2010, j’ai découvert ce chêne au hasard le long d’une petite route de Saint-Lambert-du-Lattay.
Le jardin des plantes d’Angers, Maine-et-Loire
Voici une promenade à laquelle je souhaitais vous convier depuis un moment déjà.
Je me suis rendu dans ce parc de type XIXe en décembre 2009 car je savais qu’il y a avait au moins un arbre exceptionnel. A tout seigneur tout honneur, voici le Zelkova ou orme de Sibérie qui a reçu le label « arbre remarquable de France » décerné par l’association A.R.B.R.E. [1]. Il était bien protégé, alors je ne l’ai pas mesuré. Je me suis simplement contenté de recopier la mesure qui figurait sur le panneau informatif et qui datait déjà un peu : 3m85. Mais à vu de nez, les 4m étaient pratiquement atteints, et depuis 3 ans maintenant, ils sont sûrement dépassés.
Ce qui m’a le plus marqué ce sont ses entrelacs inextricables de branches pourtant déjà très grosses et puissantes qui donnent l’impression d’être la chevelure serpentiforme d’une immense gorgone. L’arbre est de surcroît planté sur le haut d’un talus ce qui écrase littéralement le visiteur qui se promène en contrebas le long de la pièce d’eau centrale du parc. Mais ce n’est pas qu’une impression. L’orme est plus haut que l’immeuble de 6 étages situé derrière lui. Mais la visite n’est pas terminée, ce n’est pas l’arbre le plus gros de ce parc. Continuer la lecture
Le Vieux Chêne de La Pouëze, Maine-et-Loire
C’est un bel arbre que j’ai aperçu pour la première fois en Juin 2009 sur le chemin qui me conduisait au fameux chêne de La Salmonière [1]