Peu d’auteurs bretons possèdent la renommée d’Anjela Duval. Cette paysanne a exprimé son rapport à la terre, au breton et à la spiritualité à travers de nombreux poèmes traduits en plusieurs langues : français, anglais, gallois, occitan…
La poétesse trégorroise trouvait une grande partie de son inspiration dans son lieu de vie à Traou an Dour à Vieux Marché. S’émerveillant devant la beauté de deux chênes menant à sa ferme, elle composa un poème en leur honneur : An div dervenn Gozh (Les deux vieux chênes).
Aujourd’hui, des deux arbres, il n’en reste plus qu’un seul de 5,2 m de circonférence.