« Le Quillé » de Miramas-le-Vieux, Bouches-du-Rhône

Sur les bords de l’Etang de Berre, il est de tradition de monter au « Quillé ». Une petite balade familiale, dominicale ou digestive devenue un grand classique tout au long de l’année.
Le Quillé est le nom donné à la petite butte (oppidum) où se trouve le village médiéval de  Miramas-le-Vieux.
Mais restons lucide, la motivation principale de cette ascension est sans aucun doute le très célèbre glacier « Le Quillé ». Pourtant, avant de déguster l’une des meilleures glaces des Bouches-du-Rhône, chacun aura en point de mire un arbre emblématique du vieux village : un pin tout biscornu !

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Le pin d’Alep du Mas de Fondrèche à Mazan, Vaucluse

Du nouveau dans la course aux gros pins d’Alep.
Voici un sérieux concurrent venu du plateau du Vaucluse et découvert par le CAUE84 lors de l’inventaire des arbres remarquables en 2008.

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Le Jardin Jnan Sbil à Fès, Maroc

Les parcs et jardins publics sont bien rares dans les grandes villes marocaines. Ils se résument bien souvent à quelques bancs dispersés sur un terrain vague poussiéreux et caillouteux avec quelques arbres tordus à bout de souffle. Pas franchement l’endroit bucolique où il fait bon flâner et profiter d’un peu de fraicheur. D’ailleurs la fréquentation de ces endroits n’est pas toujours recommandable et il est bien rare qu’une famille avec enfants viennent y passer un moment.

La cité impériale de Fès, avec plus d’un million d’habitants, n’échappait pas à cette règle… Sauf que depuis 2011, tout a changé, la municipalité offre désormais à sa population (à moins que ce soit pour ses nombreux touristes…) un véritable poumon vert.

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« Le Magnifique » d’Alon, St-Cyr-sur-mer, Var

Surnommé le « romanichel des bois » à cause de son caractère colonisateur de la garrigue (Pardé, 1957), le Pin d’Alep souffre d’une très mauvaise image auprès des provençaux.
C’est simple, on l’accuse de tous les maux !
Il a la sinistre réputation de propager le feu (il favorise le développement de la broussaille sous son houppier clair et donc les risques d’incendies, et est lui-même très inflammable), mais aussi celle de dévaloriser la forêt en étant un arbre de piètre qualité et en éliminant le chêne.
Bref, c’est le mal aimé de la garrigue !
Alors, lorsqu’on rencontre un Pin d’Alep remarquable, qui plus est remarqué et signalé par les provençaux eux-mêmes, on peut le gratifier du surnom  « Le Magnifique »… car il le vaut bien !

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